A devastating phrase in an enlightening article in L’Orient-le Jour strikes me: “nous avons nous aussi préparé nos examens sous les obus, et pointé au travail après des nuits blanches dans les abris de fortune. Oui, nous avons essuyé quelques tirs de roquettes sur les campus des facs où logeaient aussi, parfois, des réfugiés. Mais non, nous n’avons jamais perdu 80 étudiants d’un coup. Des architectes. Des qui espéraient un jour participer à la reconstruction d’un pays dont on ne compte plus les ruines. Et non, il n’y a plus matière à comparaison depuis longtemps”.